Home  ›  Neuigkeiten  ›  Pas d’expérimentations avec notre sécurité et notre système fiscal: 2x non le 30 novembre 2025

Pas d’expérimentations avec notre sécurité et notre système fiscal: 2x non le 30 novembre 2025

Thoune, le 13 octobre 2025

Communiqué de presse concernant l’Assemblée des délégués de l’UDF Suisse du samedi 11 octobre 2025 et les objets de la votation fédérale du 30 novembre 2025

L’UDF Suisse a tenu son assemblée des délégués à Olten le samedi 11 octobre 2025. Plus de 70 délégués et invités se sont réunis afin de prendre position en vue des prochaines votations fédérales.


L’UDF Suisse a émis les recommandations de vote suivantes concernant les objets soumis au vote
fédéral du 30 novembre 2025:

Les arguments des partisans ont été présentés par le conseiller national Beat Flach (PVL AG), tandis que le conseiller cantonal Samuel Kullmann (UDF BE) a défendu la position contraire. La grande majorité des délégués de l’UDF voient d’un œil critique le projet de «service civil». Si, outre le service militaire, il était possible d’effectuer n’importe quelle autre tâche, par exemple dans le domaine de l’aide sociale, l’effectif (déjà trop faible aujourd’hui) de l’armée ne pourrait plus être garanti. Notre sécurité n’est pas un terrain de jeu où l’on peut effectuer n’importe quel service ou mener des expériences avec notre système de milice.

➔ Les délégués ont opté pour le NON par 54 voix contre, 4 voix pour et 3 abstentions

Nathalie Ruoss, vice-présidente des Jeunes socialistes suisses, a présenté le projet du point de vue des initiants. Le conseiller national Erich Vontobel (UDF ZH) a défendu les arguments contre l’initiative, qui ont clairement prévalu parmi les délégués de l’UDF. Avec leur initiative, les Jeunes socialistes demandent un impôt national sur les successions de 50 % pour les héritages supérieurs à 50 millions de francs. Mais ce sont les entreprises familiales suisses traditionnelles qui en feraient les frais. Pour payer les impôts élevés, les entreprises devraient être vendues ou liquidées. Les entrepreneurs prospères et les personnes fortunées, qui paient déjà beaucoup d’impôts aujourd’hui, seraient littéralement expropriés en raison de l’impôt élevé sur les successions, beaucoup devraient envisager de quitter la Suisse. Au lieu d’un accroissement des recettes, il y aurait d’énormes pertes fiscales, qui seraient supportées par la classe moyenne.

➔ Les délégués ont opté pour le NON par 60 voix contre une

Pour de plus amples informations:
Philippe Karoubi, membre du comité de direction,
078 715 98 01


Vous pouvez soutenir le travail de l’UDF en
Suivez-nous