Home  ›  Neuigkeiten  ›  “Non à la dictature de l’OMS” !

« Non à la dictature de l’OMS » !

23’687 signatures de pétition déposées

COMMUNIQUÉ DE PRESSE de l’UDF Suisse

La situation est de plus en plus problématique en ce qui concerne les activités controversées de l’OMS et le périlleux traité sur les pandémies – et il n’est plus possible de les balayer sous le tapis : En présence de nombreux souteneurs, l’UDF Suisse a déposé aujourd’hui, mardi 21 novembre 2023, auprès de la Chancellerie fédérale la pétition « Non à la dictature de l’OMS ! » munie de 23’687 signatures.

Les signataires de la pétition demandent au Conseil fédéral d’agir rapidement :

S'opposer avant le 27 novembre 2023 à la réduction du délai (les recours passent de 18 à 10 mois dans le cadre de la révision du Règlement sanitaire international RSI) !
Pas de signe du traité de l'OMS sur la pandémie !
Si l'OMS exige de la Suisse qu'elle le signe, il faut entamer la procédure de retrait de l'OMS.

Nous remercions de tout cœur tous les citoyens et toutes les organisations qui ont rendu possible le succès de cette pétition !

Daniel Frischknecht, président de l’UDF Suisse, s’est réjoui dans son allocution lors du dépôt de la pétition du grand soutien de la population. « Le fait que tant de signatures aient été récoltées malgré l’absence de reportage dans les médias montre que le peuple bouillonne ». Grâce à ce grand écho, la thématique de la pétition ne peut plus être ignorée, selon Frischknecht.

« Pour pouvoir empêcher le pacte de pandémie prévu pour 2024, nous devons maintenant faire pression », a ajouté Andreas Gafner, conseiller national de l’UDF du canton de Berne. Gafner a annoncé qu’il allait agir par voie parlementaire afin d’obtenir que le pacte de pandémie de l’OMS ne puisse pas être signé sans passer par le Parlement et le peuple.

Le traité de l’OMS sur les pandémies est un traité très dangereux. L’OMS ne doit plus se contenter – comme jusqu’à présent – d’émettre des recommandations pour les gouvernements des États membres, mais doit pouvoir prendre des décisions qui seraient considérées comme des lois et même supérieures à notre Constitution. Nos institutions démocratiques sont ainsi mises à mal – par l’OMS, qui n’a pas de légitimité démocratique.

Une action immédiate de la part du Conseil fédéral est nécessaire pour s’opposer à une révision désastreuse du Règlement sanitaire international (RSI). Jusqu’à présent, les États membres de l’OMS disposaient de 18 mois pour réagir aux modifications du règlement de l’OMS. Au 27 novembre 2023, ce délai devrait être réduit à dix mois. Ce raccourcissement du délai signifierait concrètement : Le droit de participation du peuple et des cantons aux accords qui concernent l’OMS sera pratiquement rendu impossible pour des raisons de temps. Nous demandons au Conseil fédéral de s’opposer à cette révision antidémocratique !

Pour toute question : Daniel Frischknecht, président de l’UDF Suisse, tél. 078 839 25 83, e-mail : daniel.frischknecht@edu-schweiz.ch



Vous pouvez soutenir le travail de l’UDF en
Suivez-nous